Seconde soirée d'affilée pour Jack White à l'Olympia. Après un premier concert avec son groupe masculin, place aux femmes ce soir!
Après un très beau set inaugural des suédoises de First Aid Kit à l'influence retro sixties élégante, l'entrée des musiciennes provoque déjà une émeute dans l'enceinte parisienne du boulevard des capucines. D'une rare élégance, le backing band est suivi du maestro Jack White, costume bleu clair de circonstance.
Dès les premières notes, on sent un White aussi bien électrisé par l'ambiance surchauffée de l'Olympia que par le fait de jouer au milieu de ses amazones glamour et sensuelles... Le show sera donc survolté dans une rare élégance rock...
"Dead Leaves & the Dirty Ground" donne le ton d'entrée, "Sixteen Saltlines" enfonce le clou dans la foulée. "Love Interruption" devient sexy à souhait lorsque White et sa choriste partagent le micro. "Hotel Yorba" suit et enflamme la salle... Comme la veille le "Top Yourself" revisité des Raconteurs reste un point de basculement du concert où l'alternance de moments doux et agressifs amène une totale communion avec le public... Sidérant!
On retiendra un rappel fièvreux avec un "Doorbell" repris en choeur par la foule, un "Steady as she goes" orgiaque, un "I'm slowly tunring into you" dantesque pour le final annoncé 'Seven Nation Army'...
On avait rarement vu autant d'ambiance dans la sage Olympia parisienne, une soirée revigorante, merci Monsieur White!
A lire également, 1ère soirée de Jack White à l'Olympia la veille, Dead Weather à l'Olympia, le coup de gueule de Jack White et le rôle des Whites Stripes dans les années 2000.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire