To celebrate the real beginning of the spring in Paris this week, a playlist by Lys Last Stand to enjoy a sunny Sunday wake-up in beautiful Paris.
Lys Last Stand's Playlist of the month: Sunny Sunday wake up call mix
1. Dionysos: Song for a Jedi (acoustic version from RTL2 radio session)
2. Queens of the Stone Age: Make it wit chu (45pm acoustic version)
3. Blur: Out of time
4. The La's: There she goes (John Leckie version 2008)
5. Snooze: The Wave
6. High Tone: Mother Dubber
7. Boom Bip: Last walk around mirror lake (boards of Canada remix)
8. Air: Sexy Boy (Etienne de Crecy & The Flower Pistols Remix)
9. Border Crossing: Taxi
10. LCD Sounsdystem: All my Friends (Harvey's mix)
Lys Last Stand
dimanche 27 avril 2008
mardi 22 avril 2008
Thurston Moore
Je sais, le venue de Thuston Moore (leader de Sonic Youth) à Paris remonte au 12 décembre 2007 pour une date au trabendo, il ne fait pas l'actualité immédiate mais mériterait de la faire plus souvent... Et oui, son incartade solo 'trees outside the academy' vient compléter la longue liste des albums fabuleux qui ne reçoivent qu'un faible support médiatique et n'ont ni le succès ni le retentissement qu'ils devraient avoir...
Combien d'auditeurs seraient, j'en suis persuadé, totalement convaincus, subjugués, rattrapés par la formidable épopée pop folk exigeante et classieuse du maitre artificier des légéndaires empereurs du rock indé poppo-noisy Sonic Youth... Mais ici point de guitares distordues, striées, coupées au cordeau et en pleine destructuration/reconstruction d'une fabuleuse mélodie venue d'ailleurs. Pour cet effort solo Thurston abandonne sa Jaguar Fender pour, une fois n'est pas coutûme, s'adonner aux vicissitudes de la guitare folk. Les rares percées éléctriques sont l'oeuvre de J. Mascis, le leader de Dinosaur Jr.
C'est surprenant et tellement jouissif de voir le leader de Sonic Youth tenir une guitare folk et arriver à nous présenter des mélodies lumineuses, d'une beauté intemporelle. Accompagné sur scène par le batteur de SY, la petite heure passée à revisiter ce magnifique album restera comme l'un de mes grand moments live de 2007... Une ambiance bon enfant, des gens vraiment admiratifs et respectueux de l'artiste, une virée en des contrées lyriques où la mélodie, exigeante et jamais racoleuse, est reine... Après celà un rappel d'une demi-heure beaucoup plus baroque avec un retour de l'éléctricité pour de plus vieux morceaux de Monsieur Moore...
Une formidable soirée dont on ressort heureux, un antidote, une potion contre la médiocrité ambiante, une confirmation que la beauté est une quête... Merci Thurston...
Combien d'auditeurs seraient, j'en suis persuadé, totalement convaincus, subjugués, rattrapés par la formidable épopée pop folk exigeante et classieuse du maitre artificier des légéndaires empereurs du rock indé poppo-noisy Sonic Youth... Mais ici point de guitares distordues, striées, coupées au cordeau et en pleine destructuration/reconstruction d'une fabuleuse mélodie venue d'ailleurs. Pour cet effort solo Thurston abandonne sa Jaguar Fender pour, une fois n'est pas coutûme, s'adonner aux vicissitudes de la guitare folk. Les rares percées éléctriques sont l'oeuvre de J. Mascis, le leader de Dinosaur Jr.
C'est surprenant et tellement jouissif de voir le leader de Sonic Youth tenir une guitare folk et arriver à nous présenter des mélodies lumineuses, d'une beauté intemporelle. Accompagné sur scène par le batteur de SY, la petite heure passée à revisiter ce magnifique album restera comme l'un de mes grand moments live de 2007... Une ambiance bon enfant, des gens vraiment admiratifs et respectueux de l'artiste, une virée en des contrées lyriques où la mélodie, exigeante et jamais racoleuse, est reine... Après celà un rappel d'une demi-heure beaucoup plus baroque avec un retour de l'éléctricité pour de plus vieux morceaux de Monsieur Moore...
Une formidable soirée dont on ressort heureux, un antidote, une potion contre la médiocrité ambiante, une confirmation que la beauté est une quête... Merci Thurston...
samedi 19 avril 2008
A Silver Mt Zion
En voilà un groupe, ou plutot un collectif qui détonne... Des Chansons de 15 mn, des alliages improbables de rock, folk, arrangements de cordes... Une sorte de chanson de geste des temps modernes, un réel ovni en ces temps de formatage, d'accessibilité en un clic, de fast-food sonore...
En voilà un groupe hors du temps, qui ne se révêle pas en quelques secondes, qui ne donne pas la substantifique moelle de son oeuvre sous la forme d'un refrain fédérateur succédant à un couplet entrainant... Un collectif à part, une chance, une incandescente mise en danger, une croisade pour différence...
En ce samedi 12 avril à la Maroquinerie l'émerveillement est à son comble, le voyage improbable et déconcertant... Une formation rock traditionnelle batterie/basse/2 guitare agrémentée de trois sirènes en charge des cordes, des choeurs, des arrangements classieux.
On ressort émerveillé, transporté, ébahi... La musique restera multiple et ces canadiens et leurs soutiens en seront les fers de lance...
MRM Crew
En voilà un groupe hors du temps, qui ne se révêle pas en quelques secondes, qui ne donne pas la substantifique moelle de son oeuvre sous la forme d'un refrain fédérateur succédant à un couplet entrainant... Un collectif à part, une chance, une incandescente mise en danger, une croisade pour différence...
En ce samedi 12 avril à la Maroquinerie l'émerveillement est à son comble, le voyage improbable et déconcertant... Une formation rock traditionnelle batterie/basse/2 guitare agrémentée de trois sirènes en charge des cordes, des choeurs, des arrangements classieux.
On ressort émerveillé, transporté, ébahi... La musique restera multiple et ces canadiens et leurs soutiens en seront les fers de lance...
MRM Crew
Burning Mind by A Free Soul (AFS)
'Burning Mind' is a song written and produced by MRM Artist A Free Soul (AFS) which has been downloaded more than 1200 times (a Creative Commons Attribution - Non Commercial Share Alike license) via http://www.archive.org/ .
It's structured around an electronic downtempo bass line, composed with a software reproducing the sound of the magic TB-303. It's a simple song trying to express the electronic dark groove feeling... The techno satisfaction song like the artist defined it in a very sarcastic and humoristic way...
Worths the try... Introduction for the Debut LP 'The Fall'...
Most popular song from the MRM village, you can download it as well as 2 other songs from 'The Fall' on http://www.archive.org/search.php?query=creator%3A%28a%20free%20soul%29
Hear more on my space AFS page: http://www.myspace.com/afreesoul69
And listen to AFS albums on Last.fm: http://www.last.fm/music/A+Free+Soul
MRM Crew
It's structured around an electronic downtempo bass line, composed with a software reproducing the sound of the magic TB-303. It's a simple song trying to express the electronic dark groove feeling... The techno satisfaction song like the artist defined it in a very sarcastic and humoristic way...
Worths the try... Introduction for the Debut LP 'The Fall'...
Most popular song from the MRM village, you can download it as well as 2 other songs from 'The Fall' on http://www.archive.org/search.php?query=creator%3A%28a%20free%20soul%29
Hear more on my space AFS page: http://www.myspace.com/afreesoul69
And listen to AFS albums on Last.fm: http://www.last.fm/music/A+Free+Soul
MRM Crew
vendredi 18 avril 2008
Happiness is a warm gun: The Breeders & Franck Black
C'est exactement ça le feeling... Tout est résumé par ce titre fabuleux des Fab Fours et repris dans une cigale enflammée par les breeders ce soir... Une reprise à leur sauce, pleine de simplicité, d'authenticité mélée à un réel plaisir communicatif d'être là, de jouer du bon vieux rock indé sans prétention, oublieux des formules pompeuses, des arrangements avant-gardistes pompiers et trop classes pour être honnêtes... Ca fait du bien de finir la semaine sur une telle prestation. Les Breeders ca me rappelle automatiquement mes premiers pas dans le monde de la guitare, ce son et ce single fabuleux: Cannonball, une époque toutes guitares rugissantes, un style de vie, une découverte, un nouveau continent s'ouvrant sur mes oreilles ébahies et déjà sous le charme de cet instrument... Une joie à nouveau partagée, quelle énergie retrouvée, une épopée recouvrant ses lettres de noblesse...
La prestation de Franck Black le samedi 16 février 2008 à L'elysée montmartre fut du même acabit: une intensité juvénile retrouvée mais parfaitement maitrisée, un set pied au plancher, une ode à la guitare rock dans sa plus grande splendeur, à la furie expiatoire de la musique indé... Et tout ça avec style, tout de noir vêtu, des lunettes noires de mouche fièrement portées... Une joie intense et jubilatoire, un échange intense et authentique... Ici le symbole c'est la song 'Threshold apprehension' (issue du dernier LP Blue Fingers) et ses paroles saisissantes: 'some people die when they start to get old, I don't wanna die before the threshold'... Tout est dit, l'esprit rock résumé en deux vers, une energie éléctrique, une tension, une générosité musicale et vocale au diapason... Et un vrai plaisir de voir ça en live nous éclater en pleine face...
Les anciens ne sont pas morts, ils reviennent même des tréfonds pour nous botter le cul une nouvelle fois et nous rappeler, au cas où notre société de consommation nous l'aurait fait oublier, que la vérité, l'intensité et le don de soi n'atteint pas le nombre des années...
Vite une nouvelle dose...
MRM Crew
La prestation de Franck Black le samedi 16 février 2008 à L'elysée montmartre fut du même acabit: une intensité juvénile retrouvée mais parfaitement maitrisée, un set pied au plancher, une ode à la guitare rock dans sa plus grande splendeur, à la furie expiatoire de la musique indé... Et tout ça avec style, tout de noir vêtu, des lunettes noires de mouche fièrement portées... Une joie intense et jubilatoire, un échange intense et authentique... Ici le symbole c'est la song 'Threshold apprehension' (issue du dernier LP Blue Fingers) et ses paroles saisissantes: 'some people die when they start to get old, I don't wanna die before the threshold'... Tout est dit, l'esprit rock résumé en deux vers, une energie éléctrique, une tension, une générosité musicale et vocale au diapason... Et un vrai plaisir de voir ça en live nous éclater en pleine face...
Les anciens ne sont pas morts, ils reviennent même des tréfonds pour nous botter le cul une nouvelle fois et nous rappeler, au cas où notre société de consommation nous l'aurait fait oublier, que la vérité, l'intensité et le don de soi n'atteint pas le nombre des années...
Vite une nouvelle dose...
MRM Crew
mercredi 16 avril 2008
Décevant The Kooks
Mardi 15 avril à L'elysée Montmartre avait lieu le concert de lancement en France du nouvel album de the Kooks. Après un premier effort pop avec quelques relans lointains d'influences punks fort bien mené et astucieusement produit avec un son léché, clair, dynamique et assez complexe sous une apparente simplicité, les voilà donc au sortir de la toujours difficile confirmation...
Et bien le résultat est plutôt décevant. Un concert décousu, un son brouillon (chose déjà remarquée lors de leur passage à l'Olympia en juillet 2007) qui ne restitue en aucun cas le superbe mixage de leur premier album. En fait on s'aperçoit que la production de 'Inside in, inside out' faisait la part belle à la batterie, qui, magnifiquement mise avant, apportait une dynamique scintillante à l'ensemble et permettait de mettre en avant la voix tout en tenant à bonne distance les arrangements punkisants de la seconde (voire troisième) guitare: un sommet de mélange équilibré... Hier soir on n'entendait pas la batterie et la basse écrasait tout, quand à la seconde guitare le son était plus souvent quelconque, parfois excitant, le chant bon par intermittance...
Au final tout n'est pas à jeter, quelques songs du 1ère album rappellent l'interêt sucité par le groupe en 2006. Par contre on ressort peu convaincu par la nouvelle livraison...
Une déception malgré une énergie bien présente, bien qu'inégale, qui a ravi les 15/20 ans venu en masse (je me suis senti quelque peu Dynosaure sur ce coup là).
MRM Crew.
Et bien le résultat est plutôt décevant. Un concert décousu, un son brouillon (chose déjà remarquée lors de leur passage à l'Olympia en juillet 2007) qui ne restitue en aucun cas le superbe mixage de leur premier album. En fait on s'aperçoit que la production de 'Inside in, inside out' faisait la part belle à la batterie, qui, magnifiquement mise avant, apportait une dynamique scintillante à l'ensemble et permettait de mettre en avant la voix tout en tenant à bonne distance les arrangements punkisants de la seconde (voire troisième) guitare: un sommet de mélange équilibré... Hier soir on n'entendait pas la batterie et la basse écrasait tout, quand à la seconde guitare le son était plus souvent quelconque, parfois excitant, le chant bon par intermittance...
Au final tout n'est pas à jeter, quelques songs du 1ère album rappellent l'interêt sucité par le groupe en 2006. Par contre on ressort peu convaincu par la nouvelle livraison...
Une déception malgré une énergie bien présente, bien qu'inégale, qui a ravi les 15/20 ans venu en masse (je me suis senti quelque peu Dynosaure sur ce coup là).
MRM Crew.
mardi 15 avril 2008
Cure Show 2008
Que peut-on attendre d'un Cure show en 2008? Comme pour tout concert d'artistes primordiaux qui ont nous ont insufflé une certaine énergie, qui nous ont fait entrevoir de nouveaux horizons, de nouvelles couleurs, de subtiles nuances du réel, on s'attend à revivre un pan d'histoire, de notre histoire... On se précipite sur les quelques billets à vendre, que l'on sait épuisable en quelques heures, pris d'une frénésie compulsive, bien ancrée dans le présent au moment de l'action, éprise d'une nostalgie bienveillante après-coup...
L'attente fut longue (plusieurs mois entre l'achat des places et le jour fatidique), on refait mille fois le concert avant d'y être, on refait la liste des titres essentiels disséminés sur 30 ans de carrière que l'on souhaiterait entendre... Et on ce dit que ca ne sera jamais aussi bien qu'en ce premier concert à l'Halle Tony Garnier de Lyon pour le Wish Tour en 1992... Et que ca fait 10 ans, oui 10 ans qu'on les a vu pour la dernière fois en juillet 98 au magique théatre antique de Fourvière à Lyon... Un concert qui était tellement mal parti, une première heure de concert décevante, un champ du cygne insupportable pour un groupe vieillissant qui avait été tellement intense au sommet de sa carrière... Puis le retour inespéré d'un Phénix triomphant, une seconde partie de concert époustouflante avec tous les titres préférés: Push, Hundred Years, Disintegration, Lovesong, From the edge of the Deep Green Sea, Sinking... Que du grand et du transcendant... 10 années qui semblent s'être évaporées... Entre temps quelques albums poussifs malgré une réelle progression après le terrible 'Wild Mood Swings'...
Bref, beaucoup d'incertitudes, d'impatience, d'attentes... Et les marathoniens de la jouvence nous ont régalé d'un concert de 3h30... Incroyable, le record de mes concerts personnels conjointement tenu jusque là par Ben Harper (Olympia juin 206) et le Brian jonestown Massacre (the independent, San francisco, septembre 2006) avec 3h10... Un moment époustouflant: l'enchainement Hundred years, disintegration... Le climat malsain et enjoué à la fois restranscris avec sa plus belle vérité... Saisissant... Pelle-mêle on retiendra encore un Push élégiaque, un From the edge of the deep green sea monumental, un play for today jettant sur nous les braises encore chaudes de 17 seconds... et un final sur les débuts du groupe avec une énergie originelle insaisisable (killing an arab, un jumping someone else's train aussi rare que foudroyant, 10/15...).
Les grandes équipes ne meurent jamais... Et ce concert revivifiant nous rappelle que la vie c'est aujourd'hui, hier et demain et lance like a canonball la grande année du retour des monstres sacrés (Radiohead, RATM, My Bloody Valentine, The Breeders, REM, NTM...)
MRM Crew
L'attente fut longue (plusieurs mois entre l'achat des places et le jour fatidique), on refait mille fois le concert avant d'y être, on refait la liste des titres essentiels disséminés sur 30 ans de carrière que l'on souhaiterait entendre... Et on ce dit que ca ne sera jamais aussi bien qu'en ce premier concert à l'Halle Tony Garnier de Lyon pour le Wish Tour en 1992... Et que ca fait 10 ans, oui 10 ans qu'on les a vu pour la dernière fois en juillet 98 au magique théatre antique de Fourvière à Lyon... Un concert qui était tellement mal parti, une première heure de concert décevante, un champ du cygne insupportable pour un groupe vieillissant qui avait été tellement intense au sommet de sa carrière... Puis le retour inespéré d'un Phénix triomphant, une seconde partie de concert époustouflante avec tous les titres préférés: Push, Hundred Years, Disintegration, Lovesong, From the edge of the Deep Green Sea, Sinking... Que du grand et du transcendant... 10 années qui semblent s'être évaporées... Entre temps quelques albums poussifs malgré une réelle progression après le terrible 'Wild Mood Swings'...
Bref, beaucoup d'incertitudes, d'impatience, d'attentes... Et les marathoniens de la jouvence nous ont régalé d'un concert de 3h30... Incroyable, le record de mes concerts personnels conjointement tenu jusque là par Ben Harper (Olympia juin 206) et le Brian jonestown Massacre (the independent, San francisco, septembre 2006) avec 3h10... Un moment époustouflant: l'enchainement Hundred years, disintegration... Le climat malsain et enjoué à la fois restranscris avec sa plus belle vérité... Saisissant... Pelle-mêle on retiendra encore un Push élégiaque, un From the edge of the deep green sea monumental, un play for today jettant sur nous les braises encore chaudes de 17 seconds... et un final sur les débuts du groupe avec une énergie originelle insaisisable (killing an arab, un jumping someone else's train aussi rare que foudroyant, 10/15...).
Les grandes équipes ne meurent jamais... Et ce concert revivifiant nous rappelle que la vie c'est aujourd'hui, hier et demain et lance like a canonball la grande année du retour des monstres sacrés (Radiohead, RATM, My Bloody Valentine, The Breeders, REM, NTM...)
MRM Crew
The beginning is the end is the beginning...
Here it is, the Mind Riot Music Label Project starts right here, right now...
Just an idea to share some good stuffs starting with artists Mind Riot 776, Lys Last Stand, A Free Soul and Spep... Not sure how to articulate this now...
More to follow very soon.
MRM crew.
Just an idea to share some good stuffs starting with artists Mind Riot 776, Lys Last Stand, A Free Soul and Spep... Not sure how to articulate this now...
More to follow very soon.
MRM crew.
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