C'est sûr que par rapport au concert de The Independent en septembre 2006 à San Francisco, chez eux, c'était moins... Moins long (3 heures de furie jusqu'à 1h30 du matin avec le propriétaire de la salle qui montait sur scène pour les éjecter de la scène à coup de savate), moins d'insultes (Anton passait son temps entre les chansons à raconter des fables incompréhensibles entre deux insultes, à Paris Anton n'a harangué la foule qu'en toute fin de concert... Jouissif quand même) mais plus de réglages de pédales et temps mort psychédélique, autant de bruit, d'énergie psychotique sans concession et de trip spatio temporel... Et Joel, l'éternelle mascotte du groupe, le garant de l'esprit BJM... Un monument et un entertainer hors pair qui reussit, non sans humour, à meubler les pertes de conscience et absence scénique du maestro Anton...
Tous les classiques du groupe y sont passés avec quelques incursions psychédéliques dans l'antre du 13ième album... Une tuerie... Et un final apocalyptique sur l'extraordinaire 'Swallowtail'...
On est en gâté en ce moment, les légendes défilent, s'entrchoquent en France... Tonite le génial Beck à L'Olympia le jour de la sortie du nouvel Opus, demain REM au fabuleux Théâtre Antique Gallo-romain de Fourvière à Lyon et mercredi le retour improbable des mythiques 'My Bloody Valentine' au Zénith... Incroyable...
MRM Crew
Ajout: A lire aussi Best Song Ever (épisode 17): Swallowtail par le BJM
http://mindriotmusic.blogspot.com/2009/07/best-song-ever-episode-17-swallowtail.html
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